avec Richard
Mille et sa Lola T70
L’occasion de retracer l’histoire des 24h du Mans puisque seules les voitures ayant fait cette épreuve peuvent participer au Mans Classic…
Nous concourons dans le plateau 5, celui des voitures de 1965 à 1971.
Richard Mille offre à Carlos l’opportunité de conduire sa superbe Lola T70 de 1969 durant les 3 courses du meeting.
Un freinage qui déstabilise la voiture mais elle est néanmoins confortable et offre un réel plaisir de conduite grâce à un fabuleux moteur avec beaucoup de couple !
Les 2 pilotes font quasiment le même temps : 4’36" / 4’37", le 9ème temps du plateau (75 voitures…)
A 1 h 20, début des essais libres. Richard prend à nouveau le
volant le premier. Puis Carlos embarque à son tour mais dès son 1er
tour, il croise une voiture en feu sur la piste, la course est aussitôt
arrêtée… Nous rentrons nous coucher… la journée a été longue…
Grasse matinée samedi, la course 1 de 45 mn ne commençant
qu’à 22 h 55 ! Toute cette journée, il bruine et la piste est très
changeante… De plus, ces voitures anciennes ont fréquemment des petites fuites
d’huile.
Les commissaires couvrent abondamment de sable ces trainées d’huile, créant un nuage semblable à de la neige au passage des voitures. Dans le 1er tour, on n’y voit rien ! Carlos fait un bon départ, plusieurs pilotes étant « perturbés » par ce manque de visibilité.
Parti en 9ème place, il remonte, tour après tour… Mais soudain, la voiture glisse sur une plaque d’huile, part en tête à queue et longe le rail sans rien toucher ! Carlos reprend la piste mais c'est une vraie patinoire et il doit conduire finement pour retrouver enfin de l’adhérence pour repartir ! Peu après, d’autres voitures partent dans les bacs à graviers et le drapeau rouge est agité…
Les commissaires couvrent abondamment de sable ces trainées d’huile, créant un nuage semblable à de la neige au passage des voitures. Dans le 1er tour, on n’y voit rien ! Carlos fait un bon départ, plusieurs pilotes étant « perturbés » par ce manque de visibilité.
Parti en 9ème place, il remonte, tour après tour… Mais soudain, la voiture glisse sur une plaque d’huile, part en tête à queue et longe le rail sans rien toucher ! Carlos reprend la piste mais c'est une vraie patinoire et il doit conduire finement pour retrouver enfin de l’adhérence pour repartir ! Peu après, d’autres voitures partent dans les bacs à graviers et le drapeau rouge est agité…
Richard décide de laisser le volant à Carlos pour les 3
courses. Pas de changement de pilote donc, mais un passage obligatoire de
1’30" au stand. Nous apprenons que la garde au sol a été mesurée et déclarée non conforme par
les commissaires, ce qui entraîne une lourde pénalité (les mécanos avaient
oublié de préciser que le plein d’essence avait été fait…)
Course 2, dimanche à 6 h 40. Le jour s’est levé, dévoilant une
belle densité de nuages… Carlos part en 5ème place sur la grille. Le
circuit étant très long, les conditions de la piste ne sont pas les mêmes
partout… Cela devient de plus en plus risqué pour ces trop belles voitures, et
la course est à nouveau arrêtée avant les 45 mn théoriques. Carlos améliore son
meilleur temps à 4’24" !
Course 3, dimanche à 14 h 45 : Carlos est 5ème
sur la grille. Nous le voyons passer lors du tour de chauffe puis plus rien… Le
moteur a serré, victime de la rupture de la courroie de la pompe à huile…
Frustration pour cette course avortée mais compensée par un
immense plaisir lors des 2 précédentes courses ! Merci Richard !
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